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Information sur le contenu de la Weblettre d’Exige
Les arbitres du tournoi, en tant que représentants de différentes parties prenantes dans la simulation (gouvernement, syndicats, groupements de consommateurs, etc.) mais aussi en leur qualité stricte d’arbitres du jeu, publient plus ou moins régulièrement sur cette page des commentaires et des informations, dont le contenu peut correspondre aux intérêts de la partie prenante représentée.
Ces informations, parfois nécessairement subjectives, sont complémentaires des chiffres officiels qui sont actualisés et publiés par l’AMFe (l’Autorité des Marchés Financiers d’Exigeland) dans la rubrique ad hoc [Espace de l’AMFe accès direct cliquer ici].
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Note de l’AMFe : l’Autorité des Marchés Financiers d’Exigeland souhaite attirer l’attention des investisseurs sur le fait que les commentaires de la WEBlettre ne sont pas ceux de l’AMFe mais de journalistes de la presse économique d’EXIGELAND.
Les perspectives, les manques, les espoirs évoqués dans ces notes ne sont pas des faits objectifs mais correspondent à des analyses nécessairement empreintes d’une part de subjectivité. Toutefois, l’AMFe après lecture de ces commentaires n’a relevé aucune désinformation ou information erronée ou fallacieuse. Voir les documents comptables sur l’espace AMFe [cliquer ici]
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Commentaires Période P10
Les cours de bourse parlent d’eux mêmes : le retournement du marché est net. Les entreprises ne l’ont pas correctement anticipé !
Commentaires Période P08
Comme certaines entreprises déliassent les marchés industriels, d’autres en profitent largement, parfois en partie au détriment du marché grand public, mais les marges bénéficiaires sur ces marchés industriels sont parfois confortables.
Le marché réel est à présent au niveau du marché « naturel » prévu (parfois au dessus) mais les entreprises peinent encore à satisfaire toute la demande qu’elles créent, certes il y a un mieux grâce à des politique de prix orientées à la baisse mais quand même !
Parmi les entreprises du marché qui va prendre l’initiative de taper dans ce doux « ronron » au moment où le marché commence à stagner ?
La santé financière de toutes les entreprises est très bonne mais avec des contrastes et peut-être un début de retournement comme semble peut-être l’annoncer le tassement du cours de l’entreprise E7_ICE IAR ?
Il faut noter que toutes les entreprises ne sont pas logées à la même enseigne après 8 années de gestion … certaines subissent indiscutablement les conséquences de leur politique, parfois au mépris des avertissements réitérées sur les dernières périodes en ce qui concerne l’attitude des consommateurs. Si bien que des parts de marché sont peut-être descendues trop bas pour assurer un avenir viable à certaines entreprises.
Commentaires Périodes P03 & P04
[La vision extraite du mensuel Alternatives Exige, le journal altermondialiste d’Exigeland]
Vont-ils se réveiller vraiment ? En P04, l’écart entre demande réelle et demande satisfaite est maintenant de 11 % ! Et les quantités réellement demandées sont toujours en dessous de l’évolution prévue du marché de 4 %, ce qui fait que les ventes effectives sont d’environ 15 de % inférieures à ce qu’elles auraient dû être …
C’est une vraie aubaine pour l’importateur qui comble ce manque, mais surtout cela peut être une vraie aubaine pour l’entreprise qui, parmi les 8 en présence, saura profiter de ce flottant de clients pour rafler à bon compte des parts de marché ! Mais qui osera ?
Les entreprises semblent s’être endormies sur des politiques conservatrices d’écrémage du marché, avec, pour certaines, une gestion erratique des capacités de production.
Ah ! Bien sûr la bourse est satisfaite : les opportunités sont nombreuses dans un marché un peu fou où les écarts de cours deviennent considérables surtout sur la dernière période, mais les clients peinent à trouver des produits et ils les trouvent à des prix sans doute trop élevés, le prix moyen n’a cessé d’augmenter au cours des 4 périodes ! Quand à la publicité, les gaspillages dans les budgets publicitaires semblent ne pas se calmer, car toujours en hausse après une flambée lors des deux premières périodes. Les sommes moyennes dépensées en publicité sont considérables et se font au détriment d’investissements productifs.
Voilà les dérives de l’économie financière !
Les associations de consommateurs ne s’y sont pas trompées. Elles viennent de décider d’entamer des campagnes d’information sur les méfaits de la publicité tapageuse, ce qui va sans doute conduire, du moins on l’espère, les clients à être de plus en plus sensibles à la composante prix dans l’offre commerciale des entreprises.
Il est temps que les entreprises pensent réellement à leurs clients au lieu d’avoir les yeux rivés sur le cours de bourse !
[La vision extraite d’Exigegaro, les pages couleur saumon, le quotidien d’informations générales des milieux d’affaires d’Exigeland]
Les investisseurs avisés ne peuvent que ce féliciter de l’évolution des jeunes entreprises d’Exigeland. Bien sûr quelques erreurs sont commises, et, sur un marché naissant, il faut bien prendre la mesure des choses et procéder à quelques ajustements, quitte à ce qu’en faisant l’omelette la main invisible si chère à Adam Smith casse quelques œufs. Le marché autorise toutes les audaces et permet la correction de toutes les erreurs ou maladresses, nous n’en doutons pas : c’est là la force de l’économie de marché !
La bourse salue cette saine expansion par une progression nette mais raisonnable de l’indice et ceci d’autant plus que le marché recèle des possibilités d’expansion considérables : environ 11 % de la demande ne sont pas satisfaits et constituent donc un gisement de croissance, sans parler qu’une habile inflexion des stratégies pourrait permettre de dépasser les prévisions de croissance tant le marché semble réceptif aux innovations proposées par les entreprises.
D’ailleurs, les récentes prises de position des associations de consommateurs montrent que le marché devient de plus en plus mature et va pouvoir permettre une redistribution des cartes, base d’un rebond, nécessairement bénéfique à toutes les parties prenantes.
Malgré cela, d’aucuns peuvent s’étonner de la relative faiblesse de la politique de distribution des dividendes alors que le salaire moyen n’a pas cessé de progresser depuis P00.
Il conviendrait à l’avenir de mieux servir les actionnaires pour que ceux-ci souscrivent aux augmentations de capital qui, sans doute, pourraient s’avérer nécessaires à moyen terme pour faire face aux besoins d’investissement en capacité de production.
Commentaires Périodes P01 & P02
Comme à l’habitude sur un marché nouveau, le démarrage est tout en contraste sur le nouveau marché des ventilateurs dans EXIGELAND ;
Après une période 01 où les entreprises se sont cherchées, et pour certains pas trouvées ( ! ) puisque non seulement la demande effective a été très inférieure à la demande initialement prévue, mais les entreprises n’ont pas réussi collectivement à satisfaire toutes les demandes. Ceci en raison d’une part de politiques publicitaires très disparates et d’autre part (et surtout !!) d’un prix moyen en hausse en raison de la politique tarifaire de certaines entreprises.
En Période 2, l’écart entre la demande effective et la demande initialement a continué à diverger avec toujours des entreprises qui collectivement n’ont pas servi la totalité de la demande effective.
Bref, des ajustements de gestion à opérer pour mieux coller à la réalité du marché, des décisions audacieuses pour réveiller la demande : donc le marché est un peu « gâché » car exploité en dessous de son potentiel mais avec une gestion comptable globalement relativement saine pour la plupart des entreprises.
Des contrastes dans la « timidité » dans l’approche du marché par certaines entreprises alors que d’autres sont sans doute « audacieuses » voire téméraires et même peut-être quelque peu déraisonnables, et déjà il est possible de noter des différentes notables (mais sans aucun doute non pérennes) dans les données comptables : des rentabilités des capitaux propres qui s’étagent du négatif à des taux positifs que l’on peut juger « insolents », des marges commerciales qui vont de simple au quintuple , des stocks qui sont parfois inexistants ou qui peuvent représenter plus du tiers de la valeur du Chiffre d’affaires ! Le bien fondé de certaines politiques de sur stockage ne peut qu’interpeller les observateurs : pari face au croisement prochain de la courbe des capacités des usines (en baisse) et de la courbe de la demande (en forte hausse).
A fin P02, les situations comptables et financières des entreprises restent saines dans leur globalité mais quelques signes de faiblesses dans nombre de ratios d’analyse peuvent constituer des clignotants d’avertissement sans caractère irréversible à ce stade.
Toutes les options pour la suite sont donc largement ouvertes !
Extrait d’un article de la Tribune d’Exigeland (organe de presse proche des milieux d’affaires)
Qu’il est rassurant de voir qu’il est possible de faire des investissements rentables qui conduisent à de belles performances boursières, gage de l’intérêt des investisseurs qui ne manqueront pas de soutenir les investissements qui eux-mêmes seront gages de nouveaux emplois.
Le marché naissant des nouveaux ventilateurs high tech est à l’image d’EXIGELAND, terre de start up innovantes à même de créer non seulement une dynamique économique mais aussi de porter des innovations technologiques au bénéfice du consommateur final.
Extrait d’un article d’Alternatives éco-responsables (organe de presse militant)
Les derniers cours de bourse d’Exigeland ne peuvent que consterner tout citoyen responsable du bien-être public.
La hausse de certains cours (l’indice du marché a progressé de plus de 15 %) traduit un relatif emballement spéculatif généré par une certaine agressivité publicitaire qui masque une hausse lancinante des prix .. alors que la demande n’est pas satisfaite. Les entreprises sont soit incompétentes car incapables de répondre à la demande soit irresponsables car préférant dégager des marges honteusement élevées pour satisfaire l’avidité de leurs actionnaires au lieu de répondre aux besoins du public … dont on peut au demeurant s’interroger sur le bienfondé compte tenu du matraquage publicitaire subi par le public (plus que le doublement des budgets publicitaires d’une période à l’autre).
Au final, c’est bien le consommateur final, le citoyen qui est le dindon de cette odieuse farce !
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